Commentaires : À 393 000 km/h, la sonde solaire Parker écrase tous les records de vitesse

Le 29 janvier, la mission a approché le Soleil une nouvelle fois, signant le record de la plus courte distance par rapport à notre étoile… Et atteignant une vitesse phénoménale.

à moins qu’elle soit cramée avant ?

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Avant quoi ?

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C’est sûr les branquignoles de la NASA n’ont pas pensé qu’il ferait plus chaud en se rapprochant du soleil…
C’était de l’humour? Je n’ai pas compris ta remarque!

Ils sont pas cons à la Nasa, ils font approcher la sonde du soleil pendant la nuit pour pas qu’elle crame ( vieille blague Belge que je recycle)… :wink:

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Allé, encore 3000x plus vite et c’est StarWars ! (en attendant la vitesse démesurée)

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Branquilgnoles, branquilgnoles… quand le Mars Climate Orbiter à plus de 100 millions de dollars US s’est écrasé sur Mars à cause d’une conversion ratée entre les systèmes métriques, je suis pas certain que la qualificatif n’était pas mérité :stuck_out_tongue:

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Excellent ^^

110 Km/s

Pas faux, mais ce n’est pas parce que 2 branquignoles font une connerie sur un problème caché (le codeur et le valideur) que tous les ingénieurs sont bêtes et oublient le problème principal! :smiley:
D’ailleurs les 2 types concernés ont du pointer au chômage assez rapidement, ils n’ont donc peut-être pas participé à cette mission là…
Après, l’erreur est toujours possible malheureusement.

393 000 km/h !!
Il a pas intérêt à passer devant un radar tourelle…

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Ils y vont la nuit, plus sûr.

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il a du se faire flasher lol

Cette vitesse est tout a fait logique car le périhélie est au plus bas de ce qui n’a jamais été fait, alors que l’aphélie est entre vénus et la Terre. C’est donc la conséquence logique de la 2ème loi de Kepler, dite « loi des aires ».
Et elle fera encore mieux en descendant plus bas dans les années qui viennent. Sans avoir besoin d’utiliser une propulsion (autrement que pour la correction de trajectoire et la descente du périhélie lors du passage a l’aphélie), simplement grâce à la loi des aires. A noter que, du coup, il est impossible de rester longtemps si bas, et donc d’avoir autre chose qu’une courte fenêtre pour étudier le soleil au plus près, avant de s’en éloigner et de ralentir énormément.
La même sonde a l’aphélie est plus lente que la Terre (en référentiel solaire) alors qu’elle est pourtant plus proche du soleil à cette période du vol.

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