Avant lui, on ouvrait le Gestionnaire de programmes et des fenêtres grises alignées au pixel près. Puis, en 1995, un bouton planté dans un coin de l’écran s’est invité dans les habitudes de millions de personnes. Quarante ans après les débuts de Windows et trente ans après Windows 95, le menu Démarrer raconte à lui seul l’évolution de Microsoft, entre quête de simplicité, expérimentations tactiles et retours en arrière assumés.
Commentaires : 40 ans de Windows, 30 ans de menu Démarrer : petite histoire d’un clic devenu réflexe
Ah ah:) Pour Arrêter: Démarrer/Arrêter le truc le plus surprenant et qui semblait… loufoque dans le temps. lol
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Je me souviens de la blague aussi où « il faut cliquer sur Démarrer pour éteindre ». hahaha.
De toute façon, il y a toujours des mauvaises langues.
En vrac, quand on installe une nouvelle version, le menu démarrer est la première chose que l’on va regarder alors c’est sûr, c’est la première impression qui compte. Après on voit comment on s’organise.
Pour Windows 8, le pb a été le plein écran mais pour le système Windows, j’ai adoré le changement du thème graphique général en plus moderne, plus lisse avec le nouvel explorateur de fichiers et l’abandon des petites fleurs de Windows 7. Mais bien qu’il ait été moche sur Windows 8, c’est ce qu’il y a sur macOS mais en plus beau. Mais on n’est pas sur macOS sinon on aurait acheté un Mac. 
J’ai les deux toute façon et à chaque système ses interfaces.
Pour Windows 11, ce n’est plus un simple « menu démarrer » mais plutôt un tableau de bord. L’essentiel étant que l’on puisse faire des regroupements par catégories.
Et puis quand ça ne plait pas, c’est facile de changer le « shell » de Windows pour un de personnalisé.
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Le menu Start est à Windows ce qu’est Google à Internet, le point d’entrée des débutants.
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Le début, les balbutiement, et l’amélioration, jusqu’à la perfection à w7, avant la chute au font de l’ abime à partir de 8 et au delà.