Commentaires : 30 cm en 30 ans, les côtes américaines menacées par la hausse du niveau de la mer

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T’es sérieux?
Les partis verts, écolo & co n’ont pas de programmes énergétiques et aucun scientifique dans leur rang ne mérite ton estime? :roll_eyes:
Tu crois sérieusement qu’il y a plus de corruption dans la filière éolienne que dans la filière nucléaire ou celle des hydrocarbures? :rofl:
Scandale d’état, comme on en a un par semaine… Partage nous tes sources que l’on s’indigne avec toi!
No comment sur Janco…

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Je ne sait pas si certains commentaire sur les alarmistes ont été supprimés mais il en reste encore…
Et je ne comprends toujours pas la justification des extrêmes avec l’existence des extrêmes opposés! :smiley: On a une confirmation que les analyses dans la moyenne (qui sont les plus nombreuses aussi…) sont correctes.

Les américains sont les rois de la surconsommation, et la pollution par capita aux USAs atteint des records. Après, s’ils ne veulent pas réduire leur consommation, il faudra en assumer les conséquences et débourser pour protéger les villes.

C’est un peu la nature qui veut se venger.

Selon le cycle de Milankovitch, on devrait être en phase de refroidissement pour la future période glacière, or on assiste plutôt à un réchauffement du à l’activité anthropique. Chez nous, en Valais (Suisse) le glacier du Trien a reculé de plus de 250 m en 30 ans. Et on a un hiver particulièrement clément, la température n’étant pas tombée en dessous de -7 °C. (En 1984, en février, la température descendait à -20 °C la nuit et remontait à -15 °C la journée et cela avait duré 3 semaines). Il faut aussi savoir que le Jetstream, courant polaire de vent circulaire maintenant les basses températures du pôle à l’intérieur, or avec le dérèglement climatique, ce Jetstream ondule et ainsi, aux USA on peut avoir des température glaciales dans l’est (New-York) et des températures clémentes à l’ouest.

Oui, oui, nous sommes à l’aube d’une période glacière. Cependant, celle-ci ne surviendrait que dans quelques milliers d’années de l’ordre de 10 000 ans, que l’on me corrige sinon.

Notre échelle d’observation est bien petite pour ce que nous sommes.

Par ailleurs effectivement, c’est le Jetstream qui amène des températures polaires dans l’Est des Etats Unis et qui réchauffe l’Europe en s’étant réchauffé dans les Caraïbes entre temps. Cela a toujours été comme ça. Montréal est à la même lattitude que Paris à un dégré près et ce n’est pas du tout le même climat < ce sont les effets du Jetstream.

Mais comme la calotte glacière Arctique fond alors les courants deviendraient encore plus froids.

En attendant, on aura droit et encore plus à des phénomènes dévastateurs. En attendant la dite période glacière.

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Nous sommes entrés dans une période glaciaire, mais aucun « survivant » des périodes passées, ne nous a transmis comment ça se passait, au début…
On va l’apprendre, « in vivo » !
Une période glaciaire dure, environs 3000 ans.

Je trouve personnellement que le réchauffement climatique a bon dos car cette approche simpliste bloque tout discernement.

Par exemple, quelle part du réchauffement climatique est directement responsable de la « montée des eaux » par rapport à l’érosion due à la perte de végétation sur les littoraux ? Question simple et qui peut réellement s’observer sur les plages des pays tropicaux.

On met tout dans un sac estampillé réchauffement climatique, ce qui empêche de prendre des décisions pourtant simple pour enrayer certains phénomènes observés.

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L’érosion ne fournira jamais suffisamment de matière pour faire significativement monter le niveau de l’eau. Il n’y a que deux sources possibles pour fournir un tel volume (d’eau) à partir des continents : le Groenland et l’Antarctique. Qui sont en train de fondre.

Non en fait ce que je veux dire est qu’il est facile de confondre montée des eaux et effet de l’érosion pour un observateur humain sans relevés précis sur une longue période.

Faire la part entre les deux est franchement compliqué et dans bien des cas, le fait de repeupler les littoraux avec un flore adaptée règle une grande partie du problème.

Même les assureurs prennent en compte maintenant la présence de zones peuplées en palétuviers pour établir le montant des primes d’assurances en cas de tsunami dans les pays tropicaux.

Ça n’a rien de bien compliqué…

La méthode que tu décris n’est pas compliquée si on utilise les nouvelles technologies. Sauf que c’est pas fait systématiquement.

Donc au jugé, j’insiste, c’est compliqué de discerner les deux phénomènes.

Mais je suis partisan de l’usage systématique de ce genre de méthode à l’échelle mondiale.

Moi pareil , ca me fatiguait ces bas du front avec leur poudre de perlimpinpin qui protegeait douze fois plus de la contamination apparement…En fait non , 1 200 % de fake news!

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