Deux poignets, une petite montre, et au bout du compte une base de données gigantesque qui commence à parler très fort. Derrière ces chiffres, une question simple plane déjà au-dessus des cabinets médicaux : jusqu’où une Apple Watch peut-elle aider à repérer les maladies avant qu’elles ne fassent trop de dégâts ?
Reste à savoir si nous sommes prêts à laisser une intelligence artificielle connaître notre intimité biologique mieux que nous-mêmes.
On n’a rien sans rien…
Ce n’est pas homologué en tant que matériel médical à ma connaissance ? donc, en cas d’indication trop optimistes ayant entraîné de graves séquelles, leur responsabilité ne sera pas engagée…
Cela ne serait tarder, il y a du pognon à se faire