Commentaires : 1 263 titres inédits de 89 artistes : le crypto receleur de chansons écope de 18 mois fermes

L’industrie de la musique suscite, elle aussi, les convoitises de pirates du Web. Preuve en est avec la condamnation du hacker britannique Adrian Kwiatkowski à une peine de prison ferme.

Easy money don’t pay !

Qu’est ce qui empêchait les artistes de sortir leurs titres malgré le piratage et quel intérêt de payer aussi cher pour des hackers pour avoir de simples morceaux de musique ?

Il y a quelque chose d’illogique dans cette histoire. L’article n’est pas du tout clair. Parle t-on du rendu final du morceau ou du fichier contenant le montage complet du séquenceur ?

On ne sait pas s’il s’agissait de morceaux complets ou non. En l’état on peut seulement supposer que certains morceaux pouvaient être achevés étant donnée la somme perçue pour le faible nombre de fichiers vendus, mais rien ne le prouve, et pour le choix de sortir malgré tout les titres ou non, demandez à Atlantic Records.
Par ailleurs, payer « aussi cher » pour le contenu d’un des artistes les plus bancables de la décennie n’a rien d’extraordinaire, Sheeran a vendu plusieurs dizaines de millions d’albums, chaque sortie de contenu de sa part est l’une des plus attendues au monde.

Sauf qu’il est exclu de vendre des morceaux originaux volés sur n’importe quelle plateforme de streaming audio, a moins de vouloir mettre gratuitement en ligne les dits morceaux inédits . Mais la, les hackeurs ne gagnent rien.

Sauf à les vendre peut être au black à de riches collectionneurs qui veulent les garder pour eux, et encore…

Est-ce que justement, sortir officiellement ces morceaux des artistes ne rendrait pas inutile le chantage ou la revente des titres piratés ?
Un titre « inédit » d’Ed Sheeran peut avoir de la valeur, mais si le titre est dispo sur Spotify…

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C’est bien possible oui. Une sorte de chantage en quelque sorte.