Commentaire de Français ! (le retour ;))

Après avoir travaillé 4heures sur le sujet, je vous donne ce que j’ai réussi à faire… Il doit y avoir de nombreuses fautes et c’est assez mal rédigé…

Si quelqu’un voyait quelque chose qui me permettrait d’améliorer mon truc ça serait sympa…

COMMENTAIRE

L’avare de Molière est une comédie en 5 actes écrits en prose. Cette pièce de théâtre fut représentée pour la première fois en 1668 à Paris. Le passage proposé se présente sous la forme d’un monologue du personnage d’Harpagon à la scène 7 de l’acte 4. Celui-ci découvre qu’on lui a volé sa cassette dans laquelle était renfermée sa fortune. Une émotion puissante l’envahie alors. Celle-ci permet de mettre en évidence sa passion pour l’argent dans un mélange de registres. Nous analyserons d’abord la folie d’Harpagon, puis nous étudierons le comique engendré par ce discours.

Axe 1) La folie d’un homme

L’affolement

La lamentation

Les soupcons

Axe 2) Le comique

Comique de mots

Comique de situation

Comique de caractère

Conclusion

L’examen du texte a donc permis de définir plus précisément Harpagon. On constate que c’est un homme rendu fou par l’argent, un homme de déraison. Molière a réussi à créer grâce à ce monologue, la satire de l’avarice en rendant la scène à priori tragique en une véritable comédie. Ce texte fait également penser à une autre œuvre de Molière, Tartuffe où le personnage principal sera assimilé à l’hypocrisie comme Harpagon à l’avarice.

Axe1) La folie d’un homme

On voit grâce à cet extrait qu’Harpagon arrive à changer 3 fois de comportement successivement d’où le découpage tripartite de l’extrait (ligne 1-8 ; 8-17 ;17-fin).
Tout d’abord, de la ligne 1 à 8, c’est l’affolement d’Harpagon après le vol. Ces lignes sont constituées d’une succession de phrases exclamatives « au voleur !», « à l’assassin !», « au meurtrier ! » puis interrogatives « Qui peut-ce être ? », « Qu’est-il devenu ? », « Qui est-ce ? » qui donnent au texte un tempo vif et rapide illustrant l’attitude nerveuse et angoissée de l’homme. L’utilisation de figures de style et plus particulièrement de gradations « au voleur ! à l’assassin ! » (l.1) «je suis perdu, je suis assassiné » (l.2) témoignent de son état d’affolement. La métaphore « on m’a coupé la gorge »(l.2) implique que le vol de sa cassette est le synonyme de sa mort. Aussi, la didascalie « il se prend lui-même le bras » souligne la folie d’Harpagon qui ne parvient plus à se contrôler contrairement à la phrase qui suit : « Ah ! C’est moi. Mon esprit est troublé, et j’ignore où je suis, et ce que je fais » (l.7) qui montre clairement que le locuteur (Harpagon) est conscient de ses actes. Cependant, il n’est pas toujours maître de lui-même alternant périodes de folie et de lucidité (cf. découpage tripartite).
De la ligne 8 à 17, la lamentation et l’avarice sont mises en avant. Molière utilise les interjections « Hélas ! » (l.8) et « Euh ? » qui soulignent son désarroi face au vol dont il a été victime. L’emploi répété de pronom de la première personne « je » avec 6 occurrences (l.9,10,12,16) ainsi qu’avec les 16 occurrences des adjectifs possessifs : « me » (l.13), « ma » (l.10) et « mon »(l.8,9,10,13,16) reflète d’un travail sur soi-même, d’une analyse. Il utilise aussi des hyperboles comme « tout est fini pour moi » (l.10) ou « je n’ai plus que faire au monde » (l.10-11) ainsi que le champ lexical de la mort composé de « meurt », « mort », « enterré », « ressusciter », « tout est fini » qui symbolisent tous deux la douleur et la tristesse liées à la « ruine » d’Harpagon. La personnification de l’argent ; que l’on repère par l’expression « mon cher ami » (l.9) ou par l’emploi du pronom personnel « toi » dont on note 2 occurrences (l.9 et 11) et le « tu » (l.9) nous éclaire sur l’importance et l’influence de l’argent sur cet avare (d’où le nom de la pièce). Il est prêt à tout quitte à mourir si l’on ne lui rend pas son bien «si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-même après » (l.26-27).
De la ligne 17 et jusqu’à la fin du texte, Harpagon change à nouveau de comportement et devient maintenant un « accusateur » car il souhaite retrouver le voleur du magot. La succession de questions sans réponses d’Harpagon « De quoi est-ce qu’on parle là ? », « De celui qui m’a dérobé ? », « Quel bruit fait-on là-haut ? », « Est-ce mon voleur qui y est ? » donne un rythme répétitif avec une rime en « é » de « dérobé » et « est » qui a pour but de surprendre le spectateur qui n’était pas préparé et ne sait pas quoi répondre face à ces interrogations « Ils me regardent tous et se mettent à rire ». En effet, le champ lexical de la justice dominant des lignes 25-26 constitué de « commissaires », « archers », « prévôts », « juges », « gênes », « potences », « bourreaux » annonce l’enquête prochaine. Par ailleurs, on voit qu’il incrimine tout d’abord les personnes de sa maison « donner la question à toute ma maison : à servantes, à valets, à fils, à filles »(l.17-18) mais il suspecte également le public « que de gens assemblés ! »(l.19) « tout me semble mon voleur » (l.20). Aussi se soupçonne-t-il lui-même à la ligne 18 « à moi aussi » ce qui rend la scène assez confuse car les personnages de l’histoire (Harpagon, personnel de maison) et des personnes réelles (spectateurs) sont tous accusés de vol

tu sais que t’es lourd :paf:

Boulet II le retour

Attendez, j’ai travaillé quand même… mdr !

oh meurde :MDR

tu l’as pomper ou?? :paf:

pompé nul part… j’ai essayé de faire ce que j’ai pu tout seul :frowning:

Euh, arf, comment te dire gentiment…

On s’en fout en fait :o

et le jour où tu passeras ton BAC, quand on te poseras une question tu répondras :

  • “ben attendez quelques heures, je vais demander de l’aide sur un forum et je reviens”

bosse tout seul faignasse ! :o :na:

C’est excellent http://www.webzinemaker.com/lourd/photo/pho1_73731.jpg

:paf:

Sans le faire exprès, je viens de te répondre la même chose :smiley:

C’est quoi un découpage tripartite ? :paf:

oui j’ai vu :paf:

dans ma région on l’écrit comme çà :o

Vous êtes des maychants :o
Cay quand même déjà mieux que ceux qui viennent poser leur sujet sur le forum et qui disent "alé i doné moua 1 plan voir le daiveulaupeman si vou avé le ten lol mé vit c pour dem1 mat1 é com c déja 21 eur dépéché vou" :paf:

Pas possible, j’ai toujours été une daube en français :o (préfère pas vous dire mes notes de BAC [:shy])

http://img63.imageshack.us/img63/1906/radarao9.gif …Skuds Trollium enrichi en approche à 9h…

Fake image raté spotted :o

Faut pas être si dure. Même si c’est toujours pas la bonne méthode on voit que le mec à compris la “leçon”. Au moins il essaye de s’améliorer.
Calmer vous un peu. :slight_smile:

Tu es en 4°/5° ?
On va dire que oui.
A moins que l’education nationale ait encore changé de methode, il me semble que la conclusion n’est pas admise.
Ton introduction me semble bien courte, tu traites de l’historique et présente la scene, mais en aucun cas de l’oeuvre elle meme, et surtout le sujet qui est abordé à travers l’oeuvre, Moliere a toujours critiqué son époque dans ses oeuvres, demande toi qui passe a la casserole ici à travers le personnage principal, et en dire alors un mot dans ton intro.
Pour le developpement, tes axes sont pas mauvais, mais il est difficile de savoir ce que tu as mis par la suite dans tes parties.
Mais qlq pistes:
. le but d’un commentaire de texte; c’est l’art de débiter son cours en partant de phrases du texte. Donc se demander les themes abordés en classe, pour voir si un ou deux passages collent pas parfaitement avec le style, la mise en scene… étudiés en cours. Tu trouves comme axe, le comique, c’est un bon fillon, comique de situation, de répétition…
. Pour aller dans le meme sens que ton 2°axe, n’y a t il pas une opposition dans le comportement de tes 2 personnages, un totalement a l’ouest un autre tres calme, ceci contribuant au comique de la situation… (souvent le cas dans les peices de Moliere…). Et tu sembles laisser tomber le 2° personnage, il n’a vraiment aucun role important dans cette scene? (je n’en sais rien ca date pour moi l’avare tout comme le commentaire de texte)
. Pour le premier axe tu peux retirer ce passage, qui n’arrivera pas à tenir la route meme avec de bons pneus “une rime en « é » de « dérobé » et « est » qui a pour but de surprendre le spectateur qui n’était pas préparé et ne sait pas quoi répondre face à ces interrogations”."
. Tout en gardant tes axes, trouvent des titres plus parlant, bien qu’ils soient dans la parfaite optique de la methodologie actuelle consistant a retirer tout le charme d’un texte par une analyse froide pseudo scientifique rendant toute fiche de lecture extremement chiante a faire et a lire :paf: , je pense que qlq formules bien tournées accrocheront mieux le lecteur, du genre; un rythme narratif au service du comique de la scene: et tu débites les passages en rapport avec le comique de l’affolement du personnage…
Bref tu maquilles ton plan bateau (d’un autre coté y a pas grand chose a faire de mieux vu l’exercice).
. Pose les choses de maniere plus visible dans ta rédaction:
genre: le comique de la situation de la scene, retour a la ligne, laisser un petit alinea, et débiter le theme du comique de situation. Tu poses un argument qui va dans le sens du comique de situation, tu donnes la citation, et tu donnes ensuite les éléments de cours en relation. Et entre chaque nouvel argument, retour a la ligne et alinea.

Voila sinon je trouve que c’est pas mal, au moins dans l’approche du texte. :slight_smile: