Je reviens sur le cas d’un gars qui m’a fait du harcèlement moral pendant plusieurs jours.
La responsable du social me répond que ce n’etait pas du harcèlement…mais que elle va porter plainte contre moi pour harcèlement car je lui ai envoyé à plusieurs reprises 2 mails dans la journée (3x dans l’année) pour lui poser des questions (sur le décompte de mes congés, etc…) et qu’elle avait autre chose à faire.
pour les anecdotes au boulot, c’est kapri qui détient la palme avec sa collègue je pense
rien de croustillant dans nos bureaux :sweet: par contre c’est plus chez les clients que cela peut être sympa :
en mission durant 1 semaine avec des collègues dans les locaux d’un client, le dernier jour, en début de soirée la chef comptable nous lâche à mon collègue et moi : “j’adore la queue, quand y a la queue c’est bon signe”. moi qui attendais mon tour pour obtenir les réponses à mes questions comptables, je me suis mis à pleurer de rire et je suis partie car ne pouvant plus me cacher
je crois bien que cela a été mon plus gros fou rire en 9 ans de taff ^^
J’ai une anecdote de boulot pas piquée des hannetons à relater. Les faits se sont déroulés entre le 1er avril 2010 et le 30 septembre 2010.
Avant d’entrer dans le vif du sujet je vais vous relater quelques faits très intéressants. Ceci est crucial pour la bonne compréhension de mon problème.
Tout d’abord fin mai 2010 la standardiste a quitté l’atelier car elle avait épuisé ses droits CUI. Et il n’y avait personne pour prendre la relève parce que madame la directrice n’avait pas été foutue d’embaucher une personne pour prendre le relai. Et il a fallu attendre début septembre pour en avoir une nouvelle. Et comme l’atelier a été fermé 2 semaines au mois d’août cela fait 2 mois et demi sans standardiste. Eh bien pendant tout ce temps j’ai répondu tout seul au téléphone parce que tous les autres employés de l’atelier refusaient catégoriquement de le faire sous prétexte que ce n’était pas marqué dans leur contrat. Dans le mien non plus bien évidemment mais bon j’estime que quand on travaille dans un chantier d’insertion on peut faire preuve d’un minimum de solidarité quand même. Je tiens à souligner que si je n’avais été là pour répondre au téléphone l’atelier aurait perdu plusieurs grosses collectes et deux contrats très intéressants avec l’Ecole Supérieure de Commerce.
Ensuite à la demande de mon chef, j’ai participé à une journée d’information des activités de l’atelier à destination du public. Il m’avait été précisé que cela me donnait droit à un jour de congé en plus que je pouvais prendre quand je le souhaitais. Eh bien je n’ai pas pris ce jour de congé car j’étais très content de rendre service à l’association en participant à cette manifestation et que je n’ai pas considéré cela comme une contrainte mais au contraire comme une gratification.
Passons maintenant aux faits. Début mai 2010 mon chef m’a proposé de suivre une formation facultative sur la base de données mysql et le développement de sites web en php. Or j’ai une sainte horreur de la programmation. J’ai donc décliné la proposition. Il m’a dit qu’il en prenait acte et ne m’en a plus jamais parlé. 4 jours avant le début de la formation j’ai appris fortuitement(en surprenant une conversation entre mon chef et une tierce personne) que j’étais inscrit . J’y suis tout de même allé mais comme j’exècre cela, que j’étais dans tous mes états à cause du fait qu’on m’ait inscrit contre mon gré et qu’histoire de fignoler le tableau j’ai appris en arrivant au centre le matin du premier jour que j’étais censé avoir lu et assimilé un support de cours de 44 pages cela s’est très mal passé. Au bout de deux jours et demi le formateur a appelé mon chef pour l’informer du fait que je n’y arrivais pas. 10 minutes après la directrice m’a appelé pour me dire de quitter le centre de formation et de retourner à mon poste. En début d’après midi elle m’a convoqué dans son bureau pour me dire que mon contrat n’allait pas être renouvelé parce que soi-disant je n’étais pas concerné par les intérêts de l’association. Je suppose que vous mesurez à présent l’importance des révélations que j’ai faites au paragraphe précédent. L’association me doit une fière chandelle et on me jette comme une merde sous un prétexte complètement délirant. Quelle infamie.
Edité le 16/12/2011 à 15:17
X au tél: “je vois plus outlook” Sans idée du pourquoi et après quelques essais infructueux, je vais en support chez le gars et en fait il était aveugle et me l’avait pas dit
moi: “Vous avez jamais répondu à mon mail pour tel projet”
X avec un sourire: “non mais c’est un boulot d’employé ça” (lui étant cadre)
X: “42 000 c’est rien ça” …ah bon…ok sinon t’as pas 65cents pour une bouteille d’eau?
X au téléphone: “J’ai un problème avec ma fonction qui fonctionne plus et ça remplis plus ma cellule en excel”
moi: “pouvez vous être un peu plus spécifique svp, je ne comprends pas vraiment le problème…”
X: “Ah oui bien sûr c’est complexe mais moi je suis informaticien.”
moi (en pensée) “et moi balayeur c’est d’ailleurs pour ça que tu me tél pour avoir de l’aide ducon”
Chef à un collègue: “On t’as engagé parce que t’es un spécialiste .Net”
Chef 1 semaine plus tard en lui tendant un bouquin: “Faut que t’apprennes le java”
le collègue a jamais fait de .net depuis…>_<
edit:
en relation avec celle au dessus moi c’est l’inverse on m’envoie en formation mais on m’y inscrit pas, j’arrive sur place et tout le monde me regarde “O_O qu’est-ce qu’il fout là? Kékiveux.”
Edité le 16/12/2011 à 15:22
Pour moi le plus incroyable :
Une collègue qui a ramené son bébé de 8 mois au boulot (en + elle se trouve à l’accueil) une première journée, puis une seconde où mon patron lui a demandé de rentrer chez elle et elle a osé crier au scandale.
C’était beau à voir : le téléphone d’une main, bébé de l’autre ou lui donner le biberon tout en bossant…
A ce jour elle a épuisé 4 nourrices, elle en est à la seconde crèche et elle ne se remet pas en question