L'homme face au travail : Quelles motivations ? - Sondages sur les motivations du Travail

“Le travail … c’est la santé” ? :whistle: si les patrons fonctionnaient tous avec cette théorie :paf:

Ils restent peut être à “Ne rien faire c’est la conserver” :paf:

Trop subtil pour de nombreux n00bs… :o

:smiley:

D’être utile.

Et dans mon boulot ça atteint le maxi quand un gusse se pointe avec une rage de dent, eh ben hop! une petit piqure et fini le bobo.
Dans ce cas là, je suis Dieu pour eux pendant 30 secondes :sol:

Le travail donne un sentiment de capacité à faire quelque chose

suivi de peu par le sentiment d’être utile.

http://img.infos-du-net.com/forum/images/perso/20/pere%20castor.gif

ouais :paf:

Limite,il n’a pas tord.
Sal**erie de carie sous le plombage avec sa cohorte de douleurs débilitantes. :grrr:

manque la reponse : le travail rempli mon compte en banque

Tsss… :o

:o

:smiley:

Je suis infirmier, donc ça donne l’impression (réelle?) d’être utile. Mais je pourrais quasiment tout cocher sans que celà me choque

La créativité :smiley:

C’est la principale fonction de mon poste, créer des installations automatisées pour l’industrie :smiley:

http://local.yahoo.com/MO/Lampe

why not :ane:

N’allons nous pas directement dans un monde robotisé, ou l’homme serait sous l’autorité des machines ? “Irobot” Pas seulement qu’un concept ? :ane:

:neutre:

On n’en est pas encore là :smiley:

Si les machines automatisées ne demandent plus qu’un ou deux opérateurs pour fonctionner, elles ont besoin de nombreux techniciens pour la maintenir en ordre de marche :smiley:
Donc pour l’instant, c’est encore l’homme qui domine la machine :smiley:

Aucune des motivations présentées ne répond à la plénitude de mon sentiment à l’égard du travail.
Le travail en soi ne m’apparaît pas comme une donne essentielle à l’équilibre de l’individu . Il est requis certes dans une logique productiviste et c’est bien ce seul critère éminemment pragmatique qui constitue ma seule motivation du principe.

Soit, rétorqueront les naturalistes, le bouleau travaille, et ses craquements le prouvent ; ainsi la nature nous donnerait-elle l’exemple si ce n’était que le jeu de mots lui n’a rien de particulièrement naturel, même si chez certains il revient au galop pour peu que chassé.

Vous suivez?

Le travail est joie ou peine. Il est joie lorsqu’on l’oublie, peine dans le cas contraire.

Est dit. Vous êtes libres de copier/coller.

Il est vrai que le travail devient souvent un fardeau et nous rappel que l’homme ne trouve plus actuelement dans son travail l’épanouissement , la liberté, l’hummanisation.
Il travail dans le but de se payer des loisirs, de consommer.
Vient ensuite la question du " bonheur"
Va - t - il trouver le bonheur dans la consommation? "

Le travail reste l’élément déclencheur d’une société dual où certains travaillent et peuvent se payer des loisirs
d’autres privés de taf n’ont pas acces à cette possibilité

Beaucoup de nuance peuvent être apportées par le simple fait de la diversité des domaines professionnels et le plaisir que l’on porte en allant travailler. ( si moindre plaisir on peut encore lui porter ; tout dépend du domaine)

c’est pourtant ma motivation première, après ben j’essaye d’en trouver d’autres pour ne pas trop me faire chier et evoluer (pour faire monter mon tarif horraire)
bref le travail, j’y vais à contre coeur (peut être que ça changera si j’arrive à lier ça à ma passion)

Moi ce qui m’interesse c’est faire des truc interessant… et là dedans en général c’est de faire des truc nouveau et apprendre un max de choses qui m’intéresse.
Sinon il y a aussi le salaire pour pouvoir faire d’autres choses en dehors du travail.

le travail donne des sous-sous =>

avec les sous-sous je peux acheter des bonbons =>

avec les bonbons je suis contente =>

quand j’ai pu de bonbons => je mange du chocolat

quand j’ai pu de chocolat => je fais un caprice et je pleure

mais bon, personne ne m’entend pleurer alors je retourne travailler :’(

(ainsi va ma vie :paf: )

ps: j’ai rien voté du coup :neutre: