L'histoire sans fin . . . .

en levant les bras, laissant percevoir à tous l’odeur immonde de sa transpiration, ce qui fit fuir le fantôme caché dans…

… l’odorat fonctionne encore chez les morts?..

le poste radio!

bon sang mais c’est bien sûr dit elle, c’est le poste radio !

et elle mis la musique à fond et envoutée elle se mit à danser sur le rythme effrainé de la macaréna version club 2004!

Ce qui dénote un manque de goût prononcé chez les personnes de sang bleu, et qui ne manque pas de facher le fantome qui se boucha le nez avec un mouchoir spectral avant de crier son dégoût, mais Delphine

se mit à danser elle aussi et

continuais de danser.

jusqu’à plus soif

ce qui irrita d’autant plus notre fantome qui essayait tant bien que mal de la frapper, chacun de ses coups passant au travers du corps de notre jeune délurée transie d’émoi musical

puis, sans trop comprendre pourquoi la musique pris fin et un main s’empara de notre jeune danseuse

, une main venue d’on ne sait ou, revetue dd’un gant noir avec le logo de la marque a virgule.

Cette main, qui était une main d’homme il me semble, me tenait tres fort.

tiens, on a change de “vision”, comment on appelle la "vue maintenant qu’on est cote heros? sont loin mes cours de francais (3 ans)!

Je me retournais et vis mon pere avecma mere,la Reine Gunter. Elle vivante?

si fort que ma main explosa en 13 morceaux.

Je n’avais meme pas mal, je ne ressentais aucune douleur.

Remarque c’était normal vu que tout ce a quoi je pensais etait en faite un profond souvenir enfoui dans mes pensées.

Car, et oui, pirouette scénaristique from outer space, ceci n’était que le récit de la vie de la double personnalité de Gertrude Mollard, 51 ans, tourneuse fraiseuse dans la Loire, dont le psychiatre

(oula c’est chaud a te suivre la v10 :D)

… avait informé le corp médical que je faisais souvent des flash back dans mon passé.

(c’est ça qui est marrant :D)

Je me retrouvais donc sous sédatifs, par intraveineuse d’un soluté de mouche Tsé-Tsé et de lait chaud, ce qui n’entravait que peu mes projets d’évasion de ma cellule capitonée, du moins lorsque je serais parvenu à me débarasser…