L’INSA c’est effectivement à mon avis le plus sûr: bien côté, et quand même pas aussi dur que la prépa classique comme je le vois.
En second choix (s’il n’y a pas d’autre prépa ou postuler… j ne sais pas trop):
tu peux tenter les prépa scientifique (M et P si ça existe encore): mais il faut être prêt à s’accrocher, et pour la 2ème année: 6 mois de cours intenses suivis de 6 mois de passage de concours hyper durs aux places limités, c’est quand même bien stressant et bien différent des prépas intégrées (beaucoup de redoublant pour cette 2ème année, qui obtiennent en gal un résultat après un redoublement,: les “fameux” 3/2, 5/2 c’ese ainsi qu’on appelle respectivement les gars de 2ème année et les redoublants)
Pour la FAC, il faut s’accrocher aussi, mais pour de raisons inverses: il faut se mettre le stress, car rien ne t’oblige d’aller en cours, de nombreux “collègues” n’y vont pas, et éventuellement, il faut chercher soi-même l’information dans les livres. Il y a ensuite des formations de bon niveau en FAC, plus ou moins reconnues (DEA+ doctorat, ou un simple Master2 )
Enfin voilà c’est quand même ambiance cool la FAC, cest pas usurpé 
Ensuite, il y a des recoupement: aller à l’INSA après un DEUG, postuler à des écoles d’ingé depuis la FAC (notamment l’ISTIL) mais c’est quad même moins pratique que de passer par les voies officielles (à réserver aux premiers de classe)
Niveau boulot, ne te trompe pas, si tu veux faire valoir ton profil d’ingénieur de “haut niveau” ce n’est pas de la programmation, mais au minimum de la conception , et plutot chef de projet ou consultant ou architecte (en 3 ans d’XP après le diplôme)
Sauf peut-être dans des secteur hyper spécialisés, l’imagerie en fait peut-être partie, mais les codeurs ne sont pas si côtés que ça.
Bon le multimédia c’est un métier à part, ce que je dit est surtout valable en SSII, dans les métiers de "système d’information "(i.e.BD + n’importe quel langage) et chez des utilisateurs de type banques ou industries.
Le métier d’éditeur est également différent.
L’informatique scientifique pourrait être un dernier pan, lui même plutôt divisé (désolé pour le fouillis) entre les chercheurs de type public (INRIA, FAC…) et le secteur privé dans des labos médicaux par exemple.
Voilà, c’est un peu long et imprécis, désolé encore, mais je crains d’avoir une vision légèrement faussée de ce que j’ai vu en SSII, qui ont l’air d’occuper une bonne partie du marché, mais se contente de faire surtout de l’informatique “à données”.
Les domaines plus scientifiques qu’on s’attend à trouver chez les éditeurs, en recherche, et chez les utilisateurs scientifiques ayant l’air soit moins courant, soit plus innaccessibles pour un “petit” profil comme moi.
Sur ce, faut que j’aille me pieuter moi.
BN
:sommeil2: