On remarque souvent aux échecs que le gagnant est généralement le plus entrainé et le plus… instruit. L’étude des ouvertures joue un grand rôle dans l’excellence dans ce jeu. Certes, la conception de stratégies est bien sûr amplement présente, mais c’est souvent l’application de « recettes » qui prime.
Introduire cette variante quantique peut rendre le jeux plus « équitable » pour les personnes les moins entraînées (ce que dit déjà l’article, en opposant puissance de calcul et intelligence humaine).
Je me suis d’ailleurs souvent demandé comment les jeux électroniques fonctionnaient. Les échecs électroniques existent depuis plusieurs décennies, donc ce sont des algorithmes « relativement » simples qui doivent être mis à l’œuvre.
Bien sûr, cette version n’est plus « vraiment » un jeu d’échec, mais un jeu bien à part…
Comprendre l’incompréhensible …
Julien Bobroff est un excellent vulgarisateur, j’adore ses vidéos de démonstration de supraconductivité, c’est impressionnant à voir.