C’est ce qui arrive chaque fois qu’une entreprise veut voir le prix de ses actions grimper et attirer de nouveaux investisseurs. Quoiqu’il en soit, les moins bons employés avalent quand même une part importante de la charge de travail. Celle-ci sera donc répartie sur les employés qui sont déjà au taquet. L’ambiance de travail va donc se dégrader, car pour obtenir plus de ceux qui donnent déjà leur maximum, il faudra les fouetter sec et généraliser l’usage du bâton. Un avenir pour les cadres psychopathes?
Augmentation de la masse de travail+deadlines rapprochées+bâton=burn-out. A court terme, ça paye gros. A long terme, ça casse les bons éléments qui deviendront inemployables. Grosse vague de burn-out en vue dans deux ans max avec l’impossibilité de les renouveler.
J’en pense que la bonne vieille lutte de classes n’a pas une ride !
Mon boulot était ma passion, et j’avais 26 Techniciens sous mon joug, mon intérêt était qu’ils maitrisent parfaitement les systèmes, je leurs retransmettaient mon savoir, trucs et astuces.
Ils leurs appartenaient d’apprendre ou pas. Mon téléphone était toujours disponible pour une aide.
Mon souhait était que tout le monde soit satisfait.
Pour paraphraser G Clemenceau :
« des indispensables il y’en a plein les cimetières ».
Personne n’est indispensable et l’entreprise n’a aucun intérêt à ce qu’un salarié s’imagine l’être.
Tant mieux pour vous si vous vous êtes éclaté dans votre boulot.
Maintenant votre commentaire en entier a quelque chose d’effrayant.
On dirait un contremaître dans une usine.
Plus du tout en phase avec ce qu’on attend aujourd’hui d’un manager.
Je ne pense pas que tu ais travaillé en usine, ou alors dans de mauvaises.
Mes divers contremaîtres et chefs d’équipe ou de poste, je les appelais par leurs prénoms et nous avons toujours eu d’excellents rapports professionnels. ^^
C’était une image pour dire « à l’ancienne »
Je doute pas de sa compétence et sa volonté de bienveillance mais les mots et expressions choisies sont assez loin de ce qu’on apprend en formation de manager.
Bien sûr, chacun voit les choses en fonction de ses expériences professionnelles et des milieux dans lesquels il a travaillé, mais le travail manuel de production dans diverses industries n’a pas grand-chose à voir avec le travail intellectuel. Ce sont littéralement deux mentalités et deux points de vue différents. ^^