ui enfin un soft qu’on achète peut durer 5 ans voir plus 5 (j’ai toujours word 2007 et marche bien sur win 10) , personne oblige à mettre a jour chaque année.
Justement, les éditeurs ont trouvé la solution contre ça avec l’abonnement et le cloud.
Mais pour avoir pratiqué la solution que vous préconisez, ce n’était pas non plus l’idéal, ça posait aussi son lot de problèmes.
Avec le libre, on peut avoir toujours la dernière version d’un soft. Et cela, sans DRM, ni activations ni autres emmerdes. C’est un vrai confort.
Le jour ou vous changez de machine, vous appréciez les logiciels libres.
J’aime bien le libre, j’ai un pc avec linux mint, mais pour la musique les soft libre ne sont pas au niveau des payant. (car il n’y a pas qu’un soft, mais tout les effets qu’on achète à coter et n’existe pas pour linux)
En CAO pour faire des petit ensemble ok, mais sinon pas au niveau des payants
En montage vidéo également
A mon humble opinion, ce n’est pas la bonne façon de voir les choses.
On entends souvent des débutants se focaliser sur les capacités des softs. Mais ils ont tort. Ce n’est pas les fonctions magiques d’un logiciel qui vous donneront le talent de faire une belle oeuvre.
A partir du moment ou la qualité d’un soft atteint un niveau correct, c’est plus vos capacités qui feront la différence que le soft utilisé.
Prenez un artiste confirmé, que vous lui donnez Gimp ou Photoshop, il vous pondra du bon travail. Mozart n’avait pas besoin de MAO. Beethoven pouvait composer de la musique en étant sourd. Les deux auraient fait des merveilles avec n’importe quel logiciel.
Pour la CAO, c’est une erreur. J’utilise de manière intensive les softs de CAO libre Freecad et OpenScad, on peut faire des choses relativement complexes avec… parce que je le fait. Ces logiciels ne sont pas parfaites, mais ils sont très largement assez performants pour des amateurs et des petits industriels.
Le bon raisonnement, c’est de se demander si un logiciel est suffisant pour l’usage qu’on veut en faire. Et de comprendre que l’existence de logiciels non libres, très chers (et plus performant), ça ne les rends pas pour autant indispensables.
Il y a blender , gimp et krita qui offre une belle alternative. Mais encore une fois, il y a plein de logiciels libre qui peut être ne seront plus développé tout comme les distrib linux, combien survive a plus de 3 ans et vont faire un très long support.
Justement, j’ai beau utiliser le libre depuis longtemps, je n’ai pas souvenir d’avoir rencontré un tel problème.
Parce que l’avantage du libre est bien la. A partir du moment ou un logiciel possède le moindre intérêt, il y a toujours quelqu’un pour reprendre sont développement à minima.
C’est simple, puisque vous avez les sources, vous pouvez faire ce que vous voulez. Y compris vous même dans l’hypothèse improbable ou personne d’autre ne le ferait.
Les logiciels les plus anciens encore en usage courant sont vraisemblablement des logiciels libres. (Emacs par exemple).
Dans le libre rien est garantit.
Bien au contraire, le code source est la meilleure des garantie. La communauté peut intervenir par elle même si l’éditeur ne le fait pas.
Les garanties du logiciel propriétaire ? Sur le papier, oui. Sauf que personne n’a le temps et l’argent pour traîner les éditeurs devant les tribunaux. Surtout quand les éditeurs ne sont pas français.
Et pour en avoir chié à une époque avec des softs propriétaires pleins de bugs dont les éditeurs se foutaient pas mal de les corriger, mon opinion est faite.
Et il est aussi normal d’acheter un soft si les dev bosse beaucoup dessus, par contre je suis contre l’abonnement, une version d’essai 30j ou 60j, et apres, c’est fini ok.
Il est tout à fait normal de payer pour du travail. Mais il faut savoir que la liberté des logiciels n’est pas lié à leur prix. Il y a des logiciels libres payants.
Parfois, c’est même les entreprises qui font en sorte que le crack soit tres simple pour que les gens prennent les réflexes avec ce soft.
Ce qui fait que les étudiants vont connaître par coeur ce soft, et les entreprises qui veulent avoir des gens efficace immédiatement vont donc acheter le soft le plus utilisé et pas du libre, car elles souhaitent un support. ET la les dev gagne beaucoup d’argent. Ca fait parti du jeu pour gagner le plus de client et casser les concurrents possibles. Une fois, l’entreprise à adopter le soft très dur sera le retour en arrière.
Tout à fait.
Et le jeune qui se croit très malin (et très rebelle) en piratant des logiciels ne réalise pas qu’il tombe exactement la ou certains éditeurs veulent l’amener.
Dès qu’il arrivera dans le milieu professionnel ou qu’il montera sa boite, il ne sera plus question de pirater, sauf à vouloir risquer très gros.
Et de nos jours, je vois beaucoup de jeunes se mettre en indépendant et ne pas gagner bien gros. C’est un détail qui peut piquer.