Commentaires : Hydrogène : quelle feuille de route pour développer la filière en France?

oui, sauf que ce n’est pas le cas et qu’on ne va pas placer des trains à hydrogène sur des lignes électrifiées mais sur des lignes qui ne le sont pas. En Belgique, il reste deux petites lignes non électrifiées et aucun plan visiblement pour les électrifier car le gestionnaire du réseau estime que ce n’est pas rentable (trop peu de passagers).

les choses peuvent changer vite. Mais bon, je ne suis pas forcément beaucoup plus optimiste que toi, juste que je ne veux pas baisser les bras

je sais bien, mais vu qu’on parle de plans financier au départ fous, et de protos subventionnés, on parie combien que c’est dans le même ordre de grandeur financier ?

un exemple : les bus H2 qui roulent en france coutent plusieurs fois leur équivalent électrique, consomment 3 fois leur quantité d’énergie, et leur prises sont remplacés par une station service de l’Air Liquide qui coute des millions d’euros.

Qui y gagne ? toi ? moi ? la planète ? l’industriel du gaz ? au départ je croyais que la meilleure énergie était celle qu’on ne dépendait et bizarrement dans le cas H2 cette équation s’inverse, tout le monde se fout des pertes, de la complexité, de l’infra etc etc

Parmi toutes les possibilités (car oui, il existe aussi des trains à batterie) - la plus simple pour moi, vu la faiblesse des besoins (on parle de toutes petites lignes) serait d’alimenter ces diez avec du biodiesel issu de la filière de recyclage des huiles : chic, pas cher, zéro co2, pas de bullshit greenwashé.

mais sûrement pas assez trendy