Commentaires : En Suisse, l'armée ne peut plus utiliser WhatsApp, Telegram ou Signal

Oui, c’est bien ce qu’une telle mesure laisse entendre et ce à quoi elle doit en partie palier.

Merci pour votre condescendance.

« Rien n’est sûr à partir du moment ou le cryptage de bout en bout ne se fait pas en local et Signal, Télégram, Whatsapp utilisent tous un serveur central »

Votre phrase sous-entend que le chiffrage de bout en bout n’est pas effectué en local (depuis un serveur central), et que c’est pour ça que ce n’est pas sûr.
De plus, vous dites que rien est sûr, ce qui est doublement faux.
Oui, en hackant le serveur central, on peut trouver les destinataires des nouveaux echanges que vous pratiquez grâce à un serveur central hacké. Sauf qu’on en ignore le contenu.
Mais quitte à hacker quelque-chose, il est plus simple de hacker un smartphone, donc peut importe l’appli de communication, vos échanges ne resteront pas secrets.