Commentaires : Berlin : le campus Google annulé après 2 ans de résistance des citoyens

Après plusieurs mois de lutte, le géant américain a finalement jeté l’éponge. Le campus Google ne verra pas la lueur du jour dans la capitale allemande. D’autres infrastructures totalement différentes occuperont les lieux.

Faut maintenant virer tous leurs produits immondes !

Tu ferais mieux de lister des alternatives plutôt que de simplement les critiquer.

  • Firefox ou Brave à la place de Chrome
  • DuckDuckGo ou Qwant à la place de Google search
  • ProtonMail à la place de Gmail
  • OpenStreetMap à la place de Google Maps

C’est une excellente nouvelle pour la France. Les neuneus allemands ne veulent pas d’emploi chez eux, nous on les veut bien. Viendez Google, viendez en France, on a une dette publique Kolossale à rembourser et un chômage catastrophique. On les veut bien les emplois nous !

@Guibsou : et pourquoi lister des alternatives, alors que tout le monde les connait déjà?
Ce qu’il faudrait faire, pour commencer, c’est surtout changer les habitudes de langage: déjà au boulot (ou même ailleurs), je m’emploie à ne plus dire des trucs tels que “cherche sur Google”, “regarde sur Google Image”, ou “utilise Google Translator” (surtout que je n’utilise moi-même rien de tout ça). Quand on aura perdu l’habitude de dire ça, ce sera déjà un grand pas.

@brousse_ouillisse : je me suis mal exprimé, tout le monde ne connait pas les alternatives citées par @Guibsou. Par contre, pour chaque service Google, je suis sûr que tout le monde connait une alternative, même si c’est d’un autre GAFAM (Firefox, Bing, Hotmail, Mappy, etc.).

Pour chaque service Google, il y a une alternative compliquée et désagréable à synchroniser avec les autres services alternatifs à Google.

@FardocheX : chez Microsoft, c’est tout aussi simple et performant que Google (voire plus). Si on veut du libre, par contre, tu as raison.

Faudrait surtout mettre l’accent sur l’information (je parle d’une information neutre, factuelle, pas orientée), bien informer les gens et ensuite, les laisser faire leur choix plutôt que d’imposer les vôtres.